Mobility
Mobility : Remplacement de 700 voitures diesel par des modèles essence
26 janvier 2017 agvs-upsa.ch - Mobility accorde une grande importance à la durabilité et à la protection de l’environnement. En raison des incertitudes actuelles sur les émissions réelles d’oxyde d’azote des moteurs diesel, la prestataire de car sharing remplacera progressivement 700 véhicules diesel par des voitures essence à compter du printemps.
pd. Les études montrent que la grande force durable du car sharing réside dans le partage des voitures entre utilisateurs. Rien qu’en Suisse, on compte 30’000 voitures privées de moins sur les routes grâce à Mobility. Mais le concept du partage ne suffit par à lui seul à protéger l’environnement: le type de voitures utilisées pour le car sharing est aussi important. "Nous nous efforçons de n’intégrer que des véhicules efficaces énergétiquement à notre flotte", explique Bernard Sauterel, le porte-parole de Mobility. L’impossibilité de dire combien les petites cylindrées à moteur diesel émettent réellement d’oxyde d’azote est ainsi d’autant plus gênante aux yeux de l’entreprise. "Les experts estiment qu’il faut multiplier les données des constructeurs automobiles, mais il n’existe pas de données fiables. Dans un premier temps, nous avons donc décidé de remplacer progressivement les 700 voitures diesel de la catégorie Economy par des véhicules essence." Cela correspond à près d’un quart de la flotte de Mobility.
La décision de Mobility d’accroître le nombre de voitures essence met la coopérative face à un dilemme: ces voitures émettent certes moins d’oxyde d’azote, mais elles rejettent plus de CO2. "En conséquence, il sera difficile pour nous de parvenir aux objectifs CO2 de la Confédération", affirme B. Sauterel. Sur la base des données actuelles des fabricants, cela ne poserait aucun problème. Mais dès que les nouvelles procédures de test comme le test WLTP seront introduites et donneront des valeurs plus réalistes, "il faudra encourager la Confédération à revoir ses objectifs à la baisse", estime-t-il. Dans l’ensemble, Mobility salue toutes les mesures de la part des législateurs et des fabricants pour parvenir à des taux d’émissions plus transparents et plus proches de la réalité.
pd. Les études montrent que la grande force durable du car sharing réside dans le partage des voitures entre utilisateurs. Rien qu’en Suisse, on compte 30’000 voitures privées de moins sur les routes grâce à Mobility. Mais le concept du partage ne suffit par à lui seul à protéger l’environnement: le type de voitures utilisées pour le car sharing est aussi important. "Nous nous efforçons de n’intégrer que des véhicules efficaces énergétiquement à notre flotte", explique Bernard Sauterel, le porte-parole de Mobility. L’impossibilité de dire combien les petites cylindrées à moteur diesel émettent réellement d’oxyde d’azote est ainsi d’autant plus gênante aux yeux de l’entreprise. "Les experts estiment qu’il faut multiplier les données des constructeurs automobiles, mais il n’existe pas de données fiables. Dans un premier temps, nous avons donc décidé de remplacer progressivement les 700 voitures diesel de la catégorie Economy par des véhicules essence." Cela correspond à près d’un quart de la flotte de Mobility.
La décision de Mobility d’accroître le nombre de voitures essence met la coopérative face à un dilemme: ces voitures émettent certes moins d’oxyde d’azote, mais elles rejettent plus de CO2. "En conséquence, il sera difficile pour nous de parvenir aux objectifs CO2 de la Confédération", affirme B. Sauterel. Sur la base des données actuelles des fabricants, cela ne poserait aucun problème. Mais dès que les nouvelles procédures de test comme le test WLTP seront introduites et donneront des valeurs plus réalistes, "il faudra encourager la Confédération à revoir ses objectifs à la baisse", estime-t-il. Dans l’ensemble, Mobility salue toutes les mesures de la part des législateurs et des fabricants pour parvenir à des taux d’émissions plus transparents et plus proches de la réalité.