Jenzer Motorsport fährt mit Motorex
« Une meilleure qualité des lubrifiants profite aux garagistes »
13 juillet 2017 upsa-agvs.ch - Moteurs, boîtes de vitesses, pneus : les éléments techniques des voitures de course sont très sollicités. De bons matériaux constituent donc un préalable au succès. Pour les lubrifiants, l’écurie suisse Jenzer Motorsport mise sur Motorex.
Le propriétaire de l’équipe A. Jenzer, avec l’un de ses bolides de GP3.
mbo. Le site de Jenzer Motorsport, situé dans la zone industrielle de la commune seelandaise de Lyss, est très animé ce matin. Les collaborateurs sont en train de charger des voitures de course et des pièces de rechange sur un semi-remorque. « Notre équipe de Formule 4, avec laquelle nous disputons le championnat italien et une partie du championnat allemand, fait face à deux semaines éprouvantes. Elle se rendra d’abord au Redbull-Ring en Autriche et au Hungaro-Ring en Hongrie pour y effectuer des essais, avant de revenir en Autriche pour participer à une course », explique A. Jenzer, le propriétaire de l’équipe et vieux briscard suisse des sports mécaniques.
Pépinière de talents pour coureurs suisses
M. Jenzer exploite trois équipes de compétition : une autre équipe de Formule 4 et une équipe de GP3, la troisième catégorie FIA derrière la Formule 1 et la Formule 2, dont les courses ont lieu dans le programme général de Formule 1. La deuxième écurie suisse la plus connue, derrière Sauber, est considérée comme une pépinière de talents pour la relève du sport automobile suisse. Nico Müller (aujourd’hui dans la DTM chez Audi), Neel Jani (pilote d’usine LMP1 chez Porsche), Rahel Frey (ex-DTM, aujourd’hui pilote d’usine chez Audi) et Fabio Leimer (champion de Formule 2, pilote de réserve de Formule 1, aujourd’hui au Challenge Ferrari), parmi d’autres, ont commencé leur carrière à Lyss.
Le pari de Motorex depuis 2009
L’un d’eux, Nico Müller, est à l’origine du choix des lubrifiants Motorex chez Jenzer. Andreas Jenzer : « Lorsque Nico est arrivé chez moi en 2008, il était déjà sponsorisé par Motorex. La petite entreprise suisse innovante et ses collaborateurs férus de sports mécaniques m’avaient d’emblée séduit. Depuis 2009, nous développons nos huiles pour moteurs et transmissions ainsi que les graisses pour roulements de roues en collaboration avec Motorex. »
Deux victoires en compétition, en partie grâce à Motorex
La coopération a notamment donné lieu à des succès sportifs avec les huiles de transmission. Lors de la saison 2017 en cours, Jenzer Motorsport a remporté une course de GP3 et une course de Formule 4. Les boîtes de vitesses des bolides sont homogènes dans leur classe respective. C’est pourquoi la lubrification de la transmission constitue le seul moyen de s’arroger un avantage par rapport aux concurrents.
Le champagne, lubrifiant de la victoire : à côté du vainqueur Arjun Maini (au centre), le deuxième pilote Jenzer, l’Italien Alessio Lorandi (d.), occupe lui aussi une place sur le podium catalan.
Pour développer la meilleure huile de transmission, l’écurie et l’école d’ingénieurs de Bienne ont construit un banc d’essai de boîtes de vitesses qui permet de simuler toutes les conditions de transmission. « C’est ainsi que les chimistes de Motorex et nous-mêmes sommes parvenus à développer une huile parfaite pour des températures de 80 à 100 °C », déclare A. Jenzer.
Espérer que rien ne casse
Naturellement, le développement est un processus continu. Toute l’année, des dizaines d’échantillons de lubrifiants usagés caractérisés par différents kilométrages sont envoyés au laboratoire Motorex à Langenthal pour y être analysés. Et autant d’huiles optimisées empruntent le chemin inverse. La première utilisation d’un nouveau produit lors d’une course présente toutefois toujours un risque. « Il ne nous reste plus qu’à espérer que rien ne casse. Jusqu’à présent, nous ne déplorons aucune panne de voiture du fait d’une boîte de vitesses défectueuse », ajoute le patron de l’équipe.
Les lubrifiants ne cessent de progresser
Motorex et ses clients, les garagistes, profitent également de la collaboration. En effet, si une huile de transmission résiste au calvaire d’une course automobile, elle conviendra aussi pour une voiture ordinaire. Pour Andreas Jenzer, cela ne fait aucun doute : « Les produits ne cessent de progresser grâce à leur utilisation dans les sports mécaniques et au développement continu des lubrifiants par nos ingénieurs et les chimistes de Motorex. Et le garagiste n’est pas en reste, car il peut proposer un produit hors pair à son client pour le satisfaire. »
Le propriétaire de l’équipe A. Jenzer, avec l’un de ses bolides de GP3.
mbo. Le site de Jenzer Motorsport, situé dans la zone industrielle de la commune seelandaise de Lyss, est très animé ce matin. Les collaborateurs sont en train de charger des voitures de course et des pièces de rechange sur un semi-remorque. « Notre équipe de Formule 4, avec laquelle nous disputons le championnat italien et une partie du championnat allemand, fait face à deux semaines éprouvantes. Elle se rendra d’abord au Redbull-Ring en Autriche et au Hungaro-Ring en Hongrie pour y effectuer des essais, avant de revenir en Autriche pour participer à une course », explique A. Jenzer, le propriétaire de l’équipe et vieux briscard suisse des sports mécaniques.
Pépinière de talents pour coureurs suisses
M. Jenzer exploite trois équipes de compétition : une autre équipe de Formule 4 et une équipe de GP3, la troisième catégorie FIA derrière la Formule 1 et la Formule 2, dont les courses ont lieu dans le programme général de Formule 1. La deuxième écurie suisse la plus connue, derrière Sauber, est considérée comme une pépinière de talents pour la relève du sport automobile suisse. Nico Müller (aujourd’hui dans la DTM chez Audi), Neel Jani (pilote d’usine LMP1 chez Porsche), Rahel Frey (ex-DTM, aujourd’hui pilote d’usine chez Audi) et Fabio Leimer (champion de Formule 2, pilote de réserve de Formule 1, aujourd’hui au Challenge Ferrari), parmi d’autres, ont commencé leur carrière à Lyss.
Le pari de Motorex depuis 2009
L’un d’eux, Nico Müller, est à l’origine du choix des lubrifiants Motorex chez Jenzer. Andreas Jenzer : « Lorsque Nico est arrivé chez moi en 2008, il était déjà sponsorisé par Motorex. La petite entreprise suisse innovante et ses collaborateurs férus de sports mécaniques m’avaient d’emblée séduit. Depuis 2009, nous développons nos huiles pour moteurs et transmissions ainsi que les graisses pour roulements de roues en collaboration avec Motorex. »
Deux victoires en compétition, en partie grâce à Motorex
La coopération a notamment donné lieu à des succès sportifs avec les huiles de transmission. Lors de la saison 2017 en cours, Jenzer Motorsport a remporté une course de GP3 et une course de Formule 4. Les boîtes de vitesses des bolides sont homogènes dans leur classe respective. C’est pourquoi la lubrification de la transmission constitue le seul moyen de s’arroger un avantage par rapport aux concurrents.
Le champagne, lubrifiant de la victoire : à côté du vainqueur Arjun Maini (au centre), le deuxième pilote Jenzer, l’Italien Alessio Lorandi (d.), occupe lui aussi une place sur le podium catalan.
Pour développer la meilleure huile de transmission, l’écurie et l’école d’ingénieurs de Bienne ont construit un banc d’essai de boîtes de vitesses qui permet de simuler toutes les conditions de transmission. « C’est ainsi que les chimistes de Motorex et nous-mêmes sommes parvenus à développer une huile parfaite pour des températures de 80 à 100 °C », déclare A. Jenzer.
Espérer que rien ne casse
Naturellement, le développement est un processus continu. Toute l’année, des dizaines d’échantillons de lubrifiants usagés caractérisés par différents kilométrages sont envoyés au laboratoire Motorex à Langenthal pour y être analysés. Et autant d’huiles optimisées empruntent le chemin inverse. La première utilisation d’un nouveau produit lors d’une course présente toutefois toujours un risque. « Il ne nous reste plus qu’à espérer que rien ne casse. Jusqu’à présent, nous ne déplorons aucune panne de voiture du fait d’une boîte de vitesses défectueuse », ajoute le patron de l’équipe.
Les lubrifiants ne cessent de progresser
Motorex et ses clients, les garagistes, profitent également de la collaboration. En effet, si une huile de transmission résiste au calvaire d’une course automobile, elle conviendra aussi pour une voiture ordinaire. Pour Andreas Jenzer, cela ne fait aucun doute : « Les produits ne cessent de progresser grâce à leur utilisation dans les sports mécaniques et au développement continu des lubrifiants par nos ingénieurs et les chimistes de Motorex. Et le garagiste n’est pas en reste, car il peut proposer un produit hors pair à son client pour le satisfaire. »